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Perception du temps, activité électromagnétique et modèle ICMM : vers une redéfinition de la temporalité biologique et cosmique

vendredi 4 avril 2025, par Frédéric.C


Perception du temps, activité électromagnétique et modèle ICMM : vers une redéfinition de la temporalité biologique et cosmique


1. Postulat officiel scientifique de ce qu’est le temps
Dans les sciences physiques classiques, le temps est considéré comme une dimension fondamentale de l’univers. En mécanique newtonienne, il est absolu, identique pour tous. En relativité restreinte et générale, le temps devient relatif : sa vitesse d’écoulement dépend du mouvement (effet Doppler temporel) et de la gravité (dilatation temporelle gravitationnelle). Ainsi, plus un système est plongé dans un champ gravitationnel ou énergétique intense, plus son temps propre ralentit par rapport à un observateur extérieur.

En neurosciences et psychologie, le temps perçu est une construction cérébrale. Il est influencé par l’attention portée aux événements, l’intensité des signaux internes et la charge cognitive ou sensorielle.

Deux modèles dominent cette perspective :

  • SET (Scalar Expectancy Theory) : le temps est une accumulation de “ticks” internes générés par un oscillateur.
  • SBF (Striatal Beat Frequency) : le cerveau compare des fréquences d’oscillateurs neuronaux pour estimer la durée.

2. Postulat du temps dans le modèle ICMM
Le modèle ICMM (Information Complexe Multi-Magnétique) propose une définition radicalement différente du temps. Il postule que :

  • Le temps est une propriété émergente d’un système structuré par l’information magnétique (ICMM), dont la densité et la complexité interne déterminent le rythme propre de son déroulement.
  • Chaque particule, atome ou système biologique ou astrophysique possède un temps propre ICMM, qui dépend de : sa configuration magnétique, son degré d’activité énergétique et informationnelle.

Lorsque l’activité électromagnétique d’un système augmente (effort physique, surcharge neuronale, réactions stellaires), son ICMM devient plus dense et structuré, entraînant un ralentissement de son temps propre.


3. Validation expérimentale biologique : ralentissement de la perception du temps sous effort
L’étude Edwards et al. (2024) montre que la perception du temps est altérée pendant l’effort physique. Les participants à un contre-la-montre de 4 km sous-estiment significativement le temps écoulé. Cela est lié à une augmentation de l’activité électromagnétique corporelle (neuronale, musculaire, sensorielle).

Selon le modèle ICMM, cela entraîne :

  • Une augmentation de l’activité ICMM,
  • Un ralentissement du temps propre du corps,
  • Un déphasage temporel vis-à-vis de l’environnement extérieur.

Ainsi, la personne croit que moins de temps s’est écoulé que réellement : c’est la signature d’un ralentissement temporel ICMM local.


4. Extension cosmique : application du temps ICMM aux objets astrophysiques

Le temps ICMM ne s’applique pas uniquement aux systèmes biologiques, mais aussi à toutes les structures physiques dotées d’un champ magnétique ou d’une organisation informationnelle. Cela inclut :

☀️ Étoiles

  • Activité intense : fusion, convection, champs magétiques.
  • ICMM dense et dynamique.
  • Temps propre ralentit localement.

🌍 Planètes

  • Activité variable selon structure interne.
  • ICMM plus stable, mais toujours localement distinct.

✨ Galaxies

  • Systèmes hautement organisés.
  • ICMM galactique à grande échelle.
  • Chaque galaxie a son rythme temporel propre ICMM.

⚫ Trous noirs

  • Densité d’information et d’énergie extrême.
  • L’ICMM atteint un niveau de condensation tel que le temps propre tend vers zéro.
  • Correspondance directe avec l’Espace Magnétique Pur (EMP).

5. Conclusions et perspectives
L’activité électromagnétique ralentit le temps propre d’un système, qu’il soit biologique ou astrophysique. Le modèle ICMM unifie ainsi :

  • La perception subjective du temps (neurosciences),
  • Les effets relativistes (gravitationnels).
  • Et une théorie informationnelle magnétique des structures de l’univers.

Chaque objet possède un temps ICMM propre, déterminé par sa structure, sa densité informationnelle et son niveau d’activité. De plus, chacun des ICMM Enfant, de par sa différence de densité et de complexité, peut posséder son temps propre, asynchrone par rapport à ses ICMM Enfant, ses ICMM Frêres/Soeurs et son ICMM Parent


Références

Edwards, A. M., Mendoza-Medialdea, L., & Mendoza-Santiesteban, C. E. (2024). The perception of time is slowed in response to exercise. Brain and Behavior, 14(1), e3471. https://doi.org/10.1002/brb3.3471

Cordier, F. (2025). Travail ICMM – Mécanique Quantique. Document interne au projet L’Alcahest Quantique.

Cordier, F. (2025). Théorie_Partie2_AtomsAreCPU, Document Unifié ICMM – Partie 3, et autres textes fondateurs du modèle ICMM.

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