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Relecture de la détection de matière noire au travers du filtre ICMM

vendredi 2 mai 2025, par Frédéric.C

Relecture de la détection de matière noire au travers du filtre ICMM


Résumé de l’étude " A direct detection of intercluster filaments with weak lensing" dans le cadre du modèle standard ΛCDM :
L’étude affirme avoir réalisé une "détection directe" de filaments cosmiques reliant des amas de galaxies dans le superamas de Coma, en s’appuyant sur le phénomène de lentillage gravitationnel faible. Cette technique observe la déformation statistique des images de galaxies situées à l’arrière-plan de structures massives invisibles, dont la présence est déduite à partir de ces distorsions. Ces filaments seraient constitués principalement de matière noire, bien que celle-ci ne soit ni visible, ni détectable directement.

Les auteurs utilisent deux méthodes statistiques : un filtre adapté (matched-filter) et une analyse des pics de cisaillement (shear-peak statistics) afin de reconstruire une carte de masse projetée. Le signal obtenu, jusqu’à 6,6σ pour certaines zones, est interprété comme la présence de filaments interamas.


Réinterprétation critique selon le modèle ICMM :

Dans le cadre du modèle ICMM (Information Complexe Multi-Magnétique), cette étude ne constitue en aucun cas une détection directe de matière noire. Elle illustre au contraire les limites épistémologiques du paradigme standard actuel, fondé sur des entités non observables post-hoc pour combler les incohérences du modèle.

Voici les éléments clés de cette relecture :

1. Ce qui est réellement détecté
L’étude détecte uniquement des effets gravitationnels sur la lumière, c’est-à-dire des anomalies de trajectoire interprétées comme dues à une masse invisible. Aucune particule n’est observée, aucun rayonnement n’est capté, aucune interaction n’est enregistrée entre ces filaments supposés et la matière ordinaire.

En d’autres termes, l’étude observe une déformation optique, et en déduit l’existence de structures massives invisibles, ce qui constitue une inférence, non une observation directe.

2. Incohérence ontologique du concept de “matière noire”
Si la matière noire est réellement une forme de matière, elle devrait :

  • Posséder une structure,
  • Émettre un type de rayonnement (même non électromagnétique) compatible avec une interaction sur la matière visible,
  • Être détectable dans des expériences de physique des particules ou par des traces d’interaction (ce qui n’a jamais été observé à ce jour).

Le fait qu’aucune détection de ce type n’ait jamais été faite, y compris dans cette étude, affaiblit fortement l’hypothèse matérielle. Ce constat renforce l’idée que le phénomène observé n’est pas dû à une masse invisible, mais à un effet structurant de l’espace lui-même.


L’apport du modèle ICMM : une lecture plus cohérente

Le modèle ICMM offre une lecture radicalement différente et bien plus cohérente du phénomène :

Ce que le lentillage détecte vraiment :
Il détecte des gradients de densité ICMM, c’est-à-dire des zones d’organisation magnétique complexe dans l’espace, capables de modifier localement le comportement de la lumière, sans nécessiter l’existence d’une masse classique.

La structure filamenteuse :
Ce que le modèle standard interprète comme des filaments de matière noire, le modèle ICMM l’interprète comme des structures denses d’information magnétique, formées de vecteurs ICMM alignés, polarisés et stabilisés.

Ces structures n’ont pas besoin d’être "massives" au sens inertiel, car leur pouvoir de structuration et de courbure optique découle de leur cohérence magnétique, et non de leur masse physique.


Conclusion :

Cette étude, malgré ses prétentions, ne prouve pas l’existence de la matière noire. Elle confirme seulement l’existence d’effets gravitationnels inexplicables par la seule matière visible. Elle s’inscrit donc dans une longue série d’études qui révèlent un effet, mais en proposent une interprétation théorique qui reste non vérifiée, voire indémontrable expérimentalement.

À l’inverse, le modèle ICMM :

  • Fournit une explication cohérente de ces effets sans invoquer une matière hypothétique,
  • Ancre ces anomalies dans une logique informationnelle et magnétique supérieure,
  • Prédît l’existence de réseaux ICMM filamenteux qui organisent les galaxies, les amas et les superamas par des interactions de cohérence, non de masse.

En cela, l’interprétation via le filtre magnétique ICMM est non seulement pertinente, mais conceptuellement supérieure, car elle repose sur une dynamique organisationnelle vérifiable, fondée sur la densité d’information et l’interaction ICMM/EEM, et non sur des entités insaisissables.


Références :

[REF-ICMM-2025-05-02-A]
Titre : A direct detection of intercluster filaments with weak lensing
Auteurs : Takahiro Miyatake, Masamune Oguri, Hironao Miyatake et al.
Archive : arXiv:2310.03073v1 [astro-ph.CO]
Date : 5 octobre 2023
Lien : https://arxiv.org/abs/2310.03073

Titre : L’Alcahest Quantique - Modèle ICMM
Auteurs : Frédéric Cordier


Licence :

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